DEJA VUS 2014-2015
samedi 9 janvier 2016
maison de la vallée Saint Savin
traditionnelle soirée galette avec
Date de sortie | 25 février 1975 (1h32min) |
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Réalisé par | Brian De Palma |
Avec | Paul Williams, William Finley, Jessica Harper plus |
Genre | Comédie , Epouvante-horreur , Comédie musicale |
Winslow Leach, jeune compositeur inconnu, tente désespérément de faire connaître l'opéra qu'il a composé. Swan, producteur et patron du label Death Records, est à la recherche de nouveaux talents pour l'inauguration du Paradise, le palais du rock qu'il veut lancer. Il vole la partition de Leach, et le fait enfermer pour trafic de drogue. Brisé, défiguré, ayant perdu sa voix, le malheureux compositeur parvient à s'évader. Il revient hanter le Paradise...
Au delà du plaisir de nous retrouver autour d'un film à l'humeur joyeuse pour bien démarrer 2016 , "The phantom of the paradise" inaugure une année cinéma musicale.
L'Ecran Voyageur s'engage pour CINEZIQ - le premier festival du film musical qui se déroulera à Argelès-Gazost du 26 au 28 février.
SAMEDI 12 DECEMBRE
Les deux films seront projetés à partir de 17h avec une interruption dinatoire (19 - 20h) entre les deux
HEIMAT
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=223750.html
HEIMAT - 1. Chronique d'un rêve / 2. L'exode
1842 – 1844, L’histoire de la famille Simon. Johann le père forgeron, Margret la mère, Lena la fille ainée, Gustav et Jakob les fils, Jettchen et Florinchen leurs futures épouses. Les coups du destin risquent de détruire cette famille mais c’est une histoire de courage et de foi en l’avenir.
Des dizaines de milliers d’Allemands, accablés par les famines, la pauvreté et l’arbitraire des gouvernants, émigrent en Amérique du Sud. "Un sort meilleur que la mort, ça peut se trouver partout". Jakob Simon le cadet, lit tous les livres qu’il peut se procurer, il étudie les langues des Indiens d’Amazonie. Il rêve d’un monde meilleur, d’aventure, de dépaysement et de liberté. Il décide d’émigrer. Le retour de son frère Gustav du service militaire dans l’armée prussienne déclenche une série d’évènements qui met à rude épreuve l’amour de Jakob et bouleverse son existence.
LUNDI 9 NOVEMBRE
http://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=19545434&cfilm=228423.html
Date de sortie | 6 mai 2015 (2h7min) |
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Réalisé par | Kanu Behl |
Avec | Shashank Arora, Shivani Raghuvanshi, Ranvir Shorey |
Genre | Drame , Policier |
Nationalité | Indien |
Dans la banlieue de Delhi, Titli, benjamin d’une fratrie de braqueurs de voitures, poursuit d’autres rêves que de participer aux magouilles familiales. Ses plans sont contrecarrés par ses frères, qui le marient contre son gré. Mais Titli va trouver en Neelu, sa jeune épouse, une alliée inattendue pour se libérer du poids familial…
LUNDI 5 octobre
http://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=19539521&cfilm=217276.html
Réalisé par | Barmak Akram |
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Avec | Wajma Bahar, Mustafa Abdulsatar, Hadji Gul plus |
Genre | Drame |
Nationalité | Afghan , français |
Pour avoir fréquenté un garçon hors mariage, Wajma sera punie. L'histoire de cette étudiante afghane, inspirée d'histoires vraies aussi sombres que banales, constitue la trame de Wajma, une fiancée afghane de Barmak Akram. Présenté à Cannes dans la sélection de l’Association du cinéma indépendant pour sa diffusion (l'ACID) et élu en janvier meilleur scénario lors du dernier Festival du Film de Sundance, le film représentera l'Afghanistan aux Oscars 2014. Il sort le 27 novembre sur les écrans français.
Tourné sous la neige de Kaboul avec une équipe et des moyens restreints a minima, ce long-métrage « fait maison » est porté par des acteurs incandescents, pour la plupart non professionnels. Parmi eux, Wajma Bahar, dans le rôle de l'héroïne éponyme, Breshna Bahar, dans celui de sa mère et Mustafa Habibi, dans celui du fiancé démissionnaire. Trois comédiens plus vrais que nature, frottés au Théâtre du Soleil.
Dans le film de Barmak Akram, Wajma Bahar interprète un personnage qui porte son nom, a pour mère sa propre mère, pour aïeule, sa grand-mère, et pour toit, sa propre maison. Mais la comédienne insiste : la Wajma qu'elle incarne ne se confond pas avec la jeune femme de 24 ans qu'elle est. Si elle a certes été élevée dans un certain idéal de liberté et d'éducation, elle affirme s'être toujours conformée à la pure tradition. Et si elle s'apprête à voyager aujourd'hui, ça n'est pas, comme son personnage, par contrainte, pour trouver remède à une situation involontaire, mais pour montrer aux Lillois, aux Brésiliens ou aux Barcelonais La Ronde de nuit d'Hélène Cinque, qu'elle répète en ce moment à la Cartoucherie de Vincennes.
SAMEDI 13 JUIN 2015 à 17h.
Les trois films de Bill Douglas racontent son enfance au Royaume Uni dans les années de l'après guerre.
My Childhood (Mon enfance, 1972 - 48') et My Ain Folk (Les miens, 1973 - 55') retracent, l’enfance et l’adolescence misérables de Jamie (le gamin qui incarne le cinéaste) dans un petit village minier du sud de l’Écosse.
My Way Home (1978 - 72'), évoque le calvaire de Jamie en Angleterre, puis le temps de son service militaire, en Égypte. Il y rencontre Robert, un autre jeune appelé, qui devient son ami et l’aide à réaliser ses rêves artistiques d’auteur de films.
Les trois films seront projetés en suivant à partir de 17h
avec une interruption dinatoire (18h30 - 20h) entre le deuxième et le troisième film.
LUNDI 27 AVRIL 2015
Filmer la peinture
- 3 courts métrages en présence des réalisateurs -
Art de l'image, la peinture fascine le cinéma.
Comment peut-il la mettre en scène pour mieux nous faire toucher de l’œil (et de l’oreille) l’acte créateur du peintre ?
« C'est bien comme art que le cinéma suscite la pensée de la peinture, mais comme art autonome, comme art du cinéma ». Alexandre Tylski, ESAV/UTM
Les trois courts métrages présentés dans la séance tentent de cerner autrement que dans le cadre de l'exposition ce qui est en jeu dans la peinture.
"Le temps restauré" 12' - 2014 Isabelle ROUX
"Atelier" 18' - 1994 Florent Jullien & Jean Pacholder
Comment créer une passerelle entre des élèves de lycée professionnel des Hautes Pyrénées et Isaac Celnikier peintre de la Shoah ?
En le rencontrant à Paris dans son atelier. Une rencontre sous tension.
"L'atelier ouvert" 26 ' 1983 Michel Dieuzaide
Dans l'Atelier ouvert, Tal-Coat arpente sa Normandie, pour transcire ensuite un pan de nature sur la toile,"un fragment d'espace paysage".
Michel Dieuzaide raconte cette correspondance, du cheminement à la toile.Il filme un homme dans son pays.
Et le temps qu'il faut pour contempler, pour que la toile soit délaissée, puis retournée, retouchée et finalement habitée.
Enfin un Cassavetes
à Ecran Voyageur !
Lundi 30 mars 2015
Minnie Moore et Seymour Moskowitz sont deux êtres que tout oppose, lui, gardien de parking au look beatnik, elle, une femme élégante et raffinée travaillant dans un musée. Leur admiration inconditionnelle pour l’acteur Humphrey Bogart semble bien être leur seul point commun. C’est lorsque Moskowitz intervient dans la violente dispute entre Minnie et son amant que les deux âmes emplies de solitude se rencontrent. De cet instant naît leur histoire d’amour tendre mais orageuse…
Le mot du webmaster :
"Ainsi va l'amour" - sous titre de Minnie et Moskovitz - date de 1971.
John Cassavettes, c'est l'histoire d'un surdoué: scénariste, réalisateur, monteur et parfois producteur. Le cinéma de Cassavetes fuit les faux semblants. Sous sa direction les acteurs atteignent un naturel qu'exalte une caméra libre. Dès ses débuts Cassavetes brouille les pistes entre l'écriture de la fiction, du documentaire et provoque sur le plateau des situations où les acteurs donnent le plus subtil.
ELEPHANTE BLANCO
Synopsis
Le "bidonville de la Vierge" dans la banlieue de Buenos Aires. Julian et Nicolas, deux prêtres et amis de longue date, œuvrent pour aider la population. Julian se sert de ses relations politiques pour superviser la construction d'un hôpital. Nicolas le rejoint après l'échec d'un projet qu'il menait dans la jungle, où des forces paramilitaires ont assassiné les habitants. Profondément choqué, il trouve un peu de réconfort auprès de Luciana, une jeune assistante sociale, athée et séduisante. Alors que la foi de Nicolas s'ébranle, les tensions et la violence entre les cartels dans le bidonville augmentent. Quand le ministère ordonne l'arrêt des travaux pour l'hôpital, c'est l'étincelle qui met le feu aux poudres.
Lundi 1 décembre à Saint Savin
"Cinéma Jenin"
docu - Marcus Vetter 2011
Comment le projet de reconstruire le cinéma de Jénine, en Cisjordanie, se heurte aux préjugés d'une société marquée par la violence.
http://www.cinemajenin.org/new/
2008, à Jénine. Le réalisateur allemand Marcus Vetter retrouve Ismaël, le protagoniste de son précédent film (Le cœur de Jénine, Prix du cinéma allemand 2010) pour mener un projet ambitieux : reconstruire le cinéma de cette ville de Cisjordanie bordée par un camp de réfugiés, considérée comme le bastion de la résistance palestinienne. Incendié lors de la première Intifada de 1987, il a été laissé à l'abandon depuis, privant la population de tout espace culturel. Les deux hommes sont rejoints par un interprète, Fakhri Hamad, qui devient bientôt responsable du projet, et sont encouragés par Juliano Mer-Khamis, acteur, réalisateur et militant politique israélien qui a fondé le Théâtre de la liberté à Jénine. Si, dans un premier temps, les négociations avec les (trop) nombreux copropriétaires du cinéma sont âpres, les promesses de subventions et les soutiens commencent à arriver, notamment du gouvernement allemand et du ministère de la Culture palestinien. Mais, à peine le chantier entamé et les premiers bénévoles allemands hébergés, les rumeurs de collaboration avec Israël s'intensifient et entament la confiance de la population, surtout quand l'État hébreu lance des raids meurtriers contre Gaza. Même Ismaël doute : l'espoir de réconcilier les deux peuples par la culture lui semble désormais bien "naïf". Et malgré ses gardes du corps, Juliano Mer-Khamis est assassiné de douze balles devant son théâtre le 4 avril 2011…
Rêves et préjugés
En suivant pas à pas la rénovation du cinéma, Marcus Vetter pointe toutes les difficultés auxquels se heurte ce projet culturel éminemment politique : comment ne pas provoquer la méfiance des Palestiniens ? Quels films choisir sans heurter les valeurs de la société musulmane ? Peut-on inviter des Israéliens à l'inauguration ? Si l'espoir et l'énergie finissent par l'emporter, la violence et les préjugés entre les deux peuples ne faiblissent pas. Et toute tentative de "normaliser" leurs relations peut se payer au prix fort. Se sentant menacés depuis l'assassinat de Juliano Mer Khamis, Fakhri Hamad et Marcus Vetter ne sont pas revenus à Jénine.
***
Lundi 3 novembre à Saint Savin - 20h
"Tango libre"
nov 2012 - 1h42
La taule et le tango. Faut-il être belge pour associer les deux? Frédéric Fonteyne a pressenti les étincelles qu'un tel choc pouvait produire (Télérama).
Synopsis
JC, gardien de prison, est un homme sans histoire. Sa seule fantaisie consiste à suivre un cours de tango un soir par semaine. Un jour, il y rencontre une nouvelle venue, Alice. Le lendemain, il la retrouve avec surprise au parloir de la prison, elle rend visite à deux détenus : l’un est son mari, l’autre son amant...
Étrangement attiré par cette femme libre qui ne vit selon aucune règle, JC finit par transgresser tous les principes qui gouvernaient sa vie jusqu’alors.
Le film divise la critique, 4 étoiles (le maxi) pour le "Canard Enchaîné", 1 étoile pour "le Figaro". Ecran Voyageur offre une séance de rattrapage à ceux qui ne l'ont pas vu à Argelès. On aime le côté déjanté et une scène d'anthologie qui se passe en prison.
Le vendredi 7 novembre à Arras en Lavedan - 20h30
coup de chapeau au film programmé par la médiathèque d'Arras
NOS JEUNES VIES SYMPHONIQUES à Caracas…
en présence de la réalisatrice Sonia Paramo
Dans le cadre du mois du documentaire, la médiathèque d'Arras en Lavedan organise à la salle des fêtes la projection de ce film documentaire de 52' qui évoque comment des enfants des rues au Venezuela échappent à un destin qu'on pourrait penser tout tracé, grâce à la musique.
"Entre violence, drogues, misères, nos sociétés bien ancrées par leurs institutions ne laissent généralement qu’un choix modeste pour ceux là."
http://www.lesfilmsfigureslibres.com/spip.php?article72
rencontre avec Sonia PARAMO.
Sonia PARAMO - documentaire France 2008 52mn VOSTF - Les Films Figures Libres.
(ATTENTION ! Cette page est une archive !)
La musique peut-elle donner le goût de la vie et la fierté de soi à des jeunes « sauvageons » en mal d'identité ? Mille fois oui clame José Antonio Abreu qui est à l'origine d'une formidable aventure qui se poursuit à l'heure où je vous cause au Venezuela, dans les bidons villes ou dans les trous les plus paumés, là où les pauvres croyaient ne jamais voir autre chose que leur misère… « Dans la misère, le plus terrible n'est pas d'avoir faim ou pas de logement, dit le Maître, c'est l'absence d'identité, de respect pour soi-même, le sentiment que l'on n'est rien… » La musique comme arme contre la pauvreté et la délinquance qui va souvent avec ? Ça vous en bouche un coin ?
Ça avait commencé dans la fin des années 70, dans un garage de Caracas, avec une douzaine de jeunes musiciens et à ce jour ce sont plus de 200 orchestres de jeunes inadaptés de tout poil qui ont trouvé leurs marques en devenant partie prenante d'un orchestre. Les meilleurs des meilleurs parmi tous ces orchestres rassemblés dans l'Orchestre Simon Bolivar de Caracas ont provoqué ce dernier été à Salzbourg une émotion gigantesque tant leur prestation a sidéré tous les musiciens présents : guidés par un jeune chef, Gustavo Duhamel, passé de son bidonville natal au trombone puis à la baguette l'année de ses douze ans parce que le « maître » était en retard, il se révèle comme le plus doué de tous les jeunes chefs de sa génération.
Un conte de fées ? ou le résultat d'années de boulot, d'engagement d'une poignée de musiciens, soutenus par une volonté politique qui fait de l'éducation et de la culture une priorité, relayés par une foultitude de passionnés qui entraînent avec eux plus de 250 000 jeunes, issus de milieux défavorisés, certains mêmes piochés en prison, certains tirés d'un handicap qui les condamnaient à priori à l'isolement. Tous ces jeunes dit encore José Antonio « sont entrés ainsi en musique, mais aussi dans la société et la vie… »
Ramené aux proportions françaises : imaginez un million et demi de gamins et d'ados issus des quartiers dits « sensibles » jouant Bach, Rachmaninov ou Guershwin…
Présentation du film sur le site de l'Utopia à Toulouse
Lundi 17 novembre à Saint Savin
"l'Afrique à vélo"
Coup de chapeau à Hélène Smolikovski et Olivier Guix (accompagnateur) tous deux réalisateurs du diaporama.
Un couple en tandem à la découverte de l'Afrique: de l'Egypte à l'Afrique du Sud. Des rencontres, des paysages.
En présence des auteurs.
Lundi 17 novembre à Saint Savin
"l'Afrique à vélo"
Coup de chapeau à Hélène Smolikovski et Olivier Guix (accompagnateur) tous deux réalisateurs du diaporama.
Un couple en tandem à la découverte de l'Afrique: de l'Egypte à l'Afrique du Sud. Des rencontres, des paysages.
En présence des auteurs.
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